Thursday, February 12, 2009

Microwave Ovens


A Microwave Oven? How convenient! 2, 3, or 5 minutes and bingo, my favorite dish could be ready. WOW… Bye bye the 30, 45 minutes of waiting or more with this old-fashion conventional oven to have it done. However, the truth is: THERE IS NO MICROWAVE OVEN UNDER OUR ROOF, and we do not plan to have one any time soon, period! (Read ‘’NEVER’’.)

As I said in a previous blog, I’m busy putting on paper many events which happened to me in my life. (By the way I am almost done.) In the last chapter there is a short paragraph about microwave ovens. Why? Because this appliance got my attention. I like good food and I was wondering how bombarding a great piece of porc meat -like I had last night, for example- with electrons could be appropriate.

As much as I know, about 90% of American homes are equipped with microwave ovens. I am sure this appliance is available in many countries. Except in Russia where it has been banned in 1976 during the Soviet Union era (I am not sure it’s still the case). And that’s not because it was not invented by some Russian genious, but simply after deep investigation by Russian scientists. Actually, the Nazis invented it, for use in their mobile support operations; they originally developed microwave "radiomissor" cooking ovens to be used for the invasion of Russia.

Simply stated, the electromagnetic energy developped by a microwave oven creates a molecular friction to heat up the food, tearing apart the molecules. In other words, the molecular structure of the food is decayed by the process of radiation. Instead of ‘’microwave ovens’’, they should be called ‘’radiation ovens’’, but it would not be appealing for their marketing, I imagine!

It seems obvious to me that this radiation exposure has a bad effect on the substances it heats. And it’s also obvious that people who process food in a microwave oven are also ingesting this radiated food. That does not seem too good, does it? Intuitively, I believe that food cooked in microwave ovens could pose a greater risk to health than food cooked by conventional means.

But what was only intuitive to me has been proven by Russian researchers, who also reported a marked acceleration of structural degradation leading to a decreased food value of 60 to 90% in all foods tested. And that’s not the end of the story; investigations done by these researchers concluded that carcinogens were formed in virtually all foods tested with microwave cooking.

Biological effects of exposure, nutritive destruction of foods, cancer-causing effects… Thanks but no thanks. Françoise and I do just fine with the old-fashion way of cooking. Last night I (YES, ‘’I’’) cooked a one-inch thick piece of porc meat -the thickness is important in order to have a very tender piece- also known as ‘’butterfly’’, generously coated (top and bottom) with first quality mustard (with no sugar in it), such as Grey Poupon. I always add some black pepper first. Pour some olive oil in a plate, place the peppered and mustard-coated butterfly in the plate and cook it in your conventional oven (no need to preheat it) for about one hour and a quarter (do not let your oven go over 350ºF). Within 30 or 40 minutes, believe me, it will smell good in the kitchen… Just enough time to dress the table -I do it often- and enjoy an ‘’aperitif’’.

Before I forget, as a side dish with my butterfly during the winter season, I like Belgium endives. If you did not guess, my salad dressing is a home-made vinaigrette (a personal recipe). And to make it perfect, drink a glass of Bordeaux wine with this great dish -a Medoc for example. Let’s say that we just don’t ‘’feed ourselves’’ like I often hear people say around here -most of the time with the TV on; we take our time to appreciate a good meal -and the TV is off, because it’s also a wonderful moment to have a nice conversation about what we did during the day, or what we plan to do the next day.

Françoise could not resist. She had to take a picture of my butterfly. Bon appétit!

P.S. - If you want to learn a lot more about the microwave ovens, go to http://www.herbalhealer.com/microwave.html


Fours à micro-ondes

Un four à micro-ondes ? Comme c’est pratique ! 2, 3 ou 5 minutes et voilà, mon plat préféré pourrait être prêt. FICHTRE… Adieu les 30, 45 minutes d’attente ou davantage avec ce vieux four d’antan pour que ce soit prêt. Cependant, la vérité est qu’IL N’Y A PAS DE FOUR À MICRO-ONDES SOUS NOTRE TOIT, et nous n’envisageons pas d’en avoir un de sitôt, tenez-vous le pour dit ! (Traduisez cela par « JAMAIS »).

Comme je l’ai dit dans un blog précédent, je suis très occupé à coucher sur le papier des évènements de ma vie. (À propos j’ai presque fini). Dans le dernier chapitre, j’ai écrit un court paragraphe sur les fours à micro-ondes. Pourquoi ? Parce que cet appareil a attiré mon attention. J’aime les bons plats et je me demandais comment le fait de bombarder avec des électrons une belle tranche de porc, comme celle que j’ai eue hier soir, par exemple, pourrait être approprié.

Autant que je sache, environ 90 % des maisons américaines sont équipées d’un four à micro-ondes. Je suis sûr que cet appareil ménager est disponible dans de nombreux pays. Sauf en Russie où il a été interdit en 1976 durant l’ère soviétique (je ne sais pas si c’est toujours le cas). Et ce n’est pas parce que ce four n’a pas été inventé par un Russe génial, mais après une recherche approfondie par des scientifiques russes. En fait, les nazis l’ont inventé, pour l’utiliser durant leurs opérations mobiles ; il ont initialement inventé des fours de cuisson par micro-ondes à employer pendant l’invasion de la Russie.

Brièvement expliqué, l’énergie électromagnétique développée par un four à micro-ondes crée une friction moléculaire pour chauffer les aliments, en en détériorant les molécules. Autrement dit, la structure moléculaire des aliments est décomposée par le processus du rayonnement. Au lieu de « fours à micro-ondes », on devrait les appeler « fours à radiations », mais j’imagine que ce ne serait peut-être pas très séduisant au niveau commercialisation.

Il me semble évident que cette exposition aux radiations a un effet nocif sur les substances qu’elle chauffe. Et il me semble aussi évident que les personnes qui traitent leur nourriture de cette façon ingèrent ces aliments. Pas très engageant, n’est-il pas vrai ? Intuitivement, je crois que ce qui est cuit dans les fours à micro-ondes pose un plus grand risque pour la santé que ce qui est cuit dans un four conventionnel.

Mais ce qui n’est qu’intuitif pour moi a été prouvé par des chercheurs russes, qui ont en outre signalé une accélération remarquable d’une dégradation structurale entraînant une diminution de la valeur nutritive de 60 à 90 % pour tous les aliments testés. Et ce n’est pas tout ; leurs recherches leur ont permis de conclure que des cancérigènes étaient formés dans virtuellement tous les aliments testés après cuisson dans un four à micro-ondes.

Effets biologiques d’exposition, destruction nutritive des aliments, effets pouvant causer un cancer… Merci, sans façon ! Françoise et moi nous contentons fort bien d’un four vieille mode pour notre cuisine. Hier soir j’ai (OUI, « j’ai ») cuit une tranche de porc (épaisseur minimale : 2,5 cm, indispensable pour avoir un morceau bien tendre), en fait un intérieur de côte ou une bonne tranche de rôti, généreusement badigeonnée (dessus et dessous) d’une moutarde d’excellente qualité (une Grey Poupon, par exemple). Je poivre toujours d’abord. Versez un peu d’huile d’olive dans un plat allant au four, placez-y la tranche de porc poivrée et enduite de moutarde et mettez dans votre four conventionnel (pas besoin de le préchauffer), puis laissez cuire pendant environ une heure un quart (ne laissez pas votre four chauffer au-delà de 175 ºC). Au bout de 30 ou 40 minutes, une bonne odeur va se répandre dans votre cuisine… Vous avez juste assez de temps pour dresser la table (je le fais souvent) et déguster un apéritif.

Avant d’oublier, pour accompagner ce plat, j’aime bien une salade d’endives pendant la saison d’hiver. Si vous ne l’avez pas deviné, j’emploie ma propre vinaigrette (une recette personnelle). Et pour parfaire le tout, accompagnez ce plat d’un bon verre de Bordeaux ; un Médoc fera l’affaire. Disons que nous ne nous « nourrissons » pas tout simplement comme je l’entends fréquemment dire dans notre coin, le plus souvent en regardant la télé. Nous prenons le temps d’apprécier un bon dîner, et la télé n’est pas en marche, car c’est aussi un excellent moment pour nous de nous raconter notre journée, ou nous dire l’un l’autre ce que nous envisageons de faire le lendemain.

Françoise n’a pas pu y résister. Il lui a fallu prendre la photo publiée en tête de cet article. Bon appétit.

P.S. – Si vous désirez approfondir vos connaissances sur les fours à micro-ondes, allez voir ce site (à condition d’être anglophone…) : http://www.herbalhealer.com/microwave.html.