Tuesday, September 15, 2020

Une valse à trois temps - A three-count waltz


September 21st, not just another day. Françoise and I will celebrate our 54th anniversary and I will implore her to please not place 84 candles for me to blow out on my birthday cake—because, yes, September 21st is also my birthday. As you know from my previous blog, we became great-grandparents on May 16th. A couple weeks later, we finally met our great-grandson, Greyson, at his parents’ home. Because of the current pandemic situation, we were unable to welcome Greyson at the hospital; but we did set aside the traditional bottle of Champagne that the proud father took it upon himself to open when, finally, we were able to meet this strong baby boy in late May—as you can see in the photo, held in the arms of his great-grandmother.

54 years ago, at the soirée of our wedding day, we had a live band and, according to tradition, Françoise and I had to open the ball with a waltz. If Françoise is a great dancer, I must humbly admit that I am an awful one. The dancing lessons I took before our wedding day did not help. And so before the band struck the first note of the traditional waltz, I had asked a few members of the family to please join us quickly on the dance floor… which, thankfully, they did.

I like to watch couples dancing a waltz; it's graceful and beautiful, no matter if it’s a three-count waltz or a thousand-count waltz, as in the famous Jacques Brel's song from the sixties, translated to English by Patti Page in 1966. Enjoy:

https://youtu.be/OLuaughz7T0

Until another time.

Jack


Pour mes amis francophones peu familiers avec la langue de Shakespeare

Ce 21 septembre n'est pas un jour ordinaire. Françoise et moi allons célébrer notre 54ème anniversaire de mariage et je vais l'implorer de ne pas placer 84 bougies à me faire souffler sur mon gâteau d'anniversaire car oui, le 21 septembre est également mon anniversaire. Dans mon blog précédent, je vous annonçais que nous étions devenus arrière grands-parents le 16 mai dernier. Quelques semaines plus tard, nous avons pu faire connaissance de notre arrière petit-fils, Greyson, chez ses parents. Par suite de la pandémie, nous n'avions pas pu souhaiter la bienvenue à Greyson à la clinique ; nous avions toutefois mis de côté la traditionnelle bouteille de Champagne que l'heureux papa s'est chargé d'ouvrir quand, enfin, nous avons pu rencontrer fin mai ce solide petit bout d'homme tenu, comme vous pouvez le constater sur la photo, dans les bras de son arrière grand-maman.

Il y a 54 ans, pour la soirée de notre mariage, nous avions engagé un orchestre et, selon la tradition, Françoise et moi devions ouvrir le bal au son d'une valse. Si Françoise est une excellente danseuse, je dois humblement avouer que c'est loin d'être mon cas. Les leçons de danse prise avant le jour du mariage n'y ont rien changé. Aussi, avant d'attaquer la valse traditionnelle, j'avais supplié quelques membres de la famille de nous rejoindre rapidement sur la piste de danse… et, grand merci, c'est ce qu'ils ont fait.

J'aime regarder des couples danser une valse, c'est gracieux et très joli, que ce soit une valse à trois temps ou une valse à mille temps comme le chantait Jacques Brel dans les années soixante. Écoutez-le :

https://youtu.be/ciqDNLeikLk

Jusqu'à une autre fois.

Jack

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