September 21st, not just another day. Françoise and I will celebrate our 54th anniversary and I will implore her to please not place 84 candles for me to blow out on my birthday cake—because, yes, September 21st is also my birthday. As you know from my previous blog, we became great-grandparents on May 16th. A couple weeks later, we finally met our great-grandson, Greyson, at his parents’ home. Because of the current pandemic situation, we were unable to welcome Greyson at the hospital; but we did set aside the traditional bottle of Champagne that the proud father took it upon himself to open when, finally, we were able to meet this strong baby boy in late May—as you can see in the photo, held in the arms of his great-grandmother.
54 years ago, at the soirée of our
wedding day, we had a live band and, according to tradition, Françoise and I
had to open the ball with a waltz. If Françoise is a great dancer, I must
humbly admit that I am an awful one. The dancing lessons I took before our
wedding day did not help. And so before the band struck the first note of the
traditional waltz, I had asked a few members of the family to please join us
quickly on the dance floor… which, thankfully, they did.
I like to watch couples dancing a
waltz; it's graceful and beautiful, no matter if it’s a three-count waltz or a
thousand-count waltz, as in the famous Jacques Brel's song from the sixties, translated
to English by Patti Page in 1966. Enjoy:
Until another time.
Jack
Pour mes amis francophones peu familiers avec la langue de Shakespeare
Ce 21 septembre n'est pas un jour ordinaire. Françoise
et moi allons célébrer notre 54ème anniversaire de mariage et je
vais l'implorer de ne pas placer 84 bougies à me faire souffler sur mon gâteau
d'anniversaire car oui, le 21 septembre est également mon anniversaire. Dans
mon blog précédent, je vous annonçais que nous étions devenus arrière grands-parents
le 16 mai dernier. Quelques semaines plus tard, nous avons pu faire
connaissance de notre arrière petit-fils, Greyson, chez ses parents. Par suite
de la pandémie, nous n'avions pas pu souhaiter la bienvenue à Greyson à la
clinique ; nous avions toutefois mis de côté la traditionnelle bouteille de
Champagne que l'heureux papa s'est chargé d'ouvrir quand, enfin, nous avons pu
rencontrer fin mai ce solide petit bout d'homme tenu, comme vous pouvez le
constater sur la photo, dans les bras de son arrière grand-maman.
Il y a 54 ans, pour la soirée de notre mariage, nous
avions engagé un orchestre et, selon la tradition, Françoise et moi devions
ouvrir le bal au son d'une valse. Si Françoise est une excellente danseuse, je
dois humblement avouer que c'est loin d'être mon cas. Les leçons de danse prise
avant le jour du mariage n'y ont rien changé. Aussi, avant d'attaquer la valse
traditionnelle, j'avais supplié quelques membres de la famille de nous
rejoindre rapidement sur la piste de danse… et, grand merci, c'est ce qu'ils
ont fait.
J'aime regarder des couples danser une valse, c'est
gracieux et très joli, que ce soit une valse à trois temps ou une valse à mille
temps comme le chantait Jacques Brel dans les années soixante. Écoutez-le :
Jusqu'à une autre fois.
Jack
No comments:
Post a Comment